Pendant la première croisade à la fin du 11ème siècle, le pouvoir de conflit chrétien conquérait des parties du proche est. Après la victoire, les pèlerins se partageaient les régions et cela les Etats plus petits comme par exemple le comté d'Edessa naissaient en Arménie, la principauté d'Antiochien dans Syren ou le royaume Jérusalem.
Peu après la ville de Jérusalem se développait comme l'un des lieux de pèlerin les plus importants de la foi chrétienne. Certes, le chemin de lac était ouvert, mais le voyage à ce sujet était cher si bien que seulement le chemin vicinal soit à la disposition des pèlerins plus pauvres. Cela attirait naturellement beaucoup de brigands et les cavaliers de Seldschuken vaincus qui attaquaient les pèlerins, dévalisaient et tuaient.
Pour cette raison et à la protection des régions conquises, l'ordre des chevaliers de temple était fondé au début du 12ème siècle, probablement entre 1118 et 1121, par les pères de fondation possibles Hugo von Payns, Gottfried von Saint-Omer et sept autres chevaliers français.
La première indication de l'ordre s'énonçait : Paupere Militie Christi (Pauvres chevaliers de Christ), dès que le nouveau roi de Jérusalem Balduin II parcours les bâtiments de son ancien palais sur la montagne de temple en 1119 à l'ordre, l'ordre devenait dans : Pauperes commilitones Christi templique Salomonici Hierosalemitanis (Pauvres chevaliers de Christ et du temple de Salomon à Jérusalem) redéfini.
Par l'hébergement sur la montagne de temple, les noms courants Templer, chevalier de temple, Templier ou Templer naissaient aussi à l'ordre.
En outre, les chevaliers de temple étaient le premier ordre qui liait les idéaux strictement séparés par ailleurs de la chevalerie noble à celui des moines. Ainsi l'ordre dépendait aussi directement du pape jusqu'à son démantèlement en 1312.
Sceau et devise :
Comme à presque chaque organisation, union ou semblable, les chevaliers de temple avaient aussi sa propre symbolique et maximes :
Ainsi s'énonçait la devise de l'ordre :
„Non nobis Domine, non nobis, sed nomini tuo da gloriam!“
„Non à nous, o monsieur, pas à nous, mais ton nom ne donne l'honneur.“
Les premiers sceaux portaient l'inscription:
„SIGILLUM MILITUM CHRISTI DE TEMPLO“
„Sceau des soldats de Christ du temple“
Le sceau le plus connu, à côté de la croix de pattes (la croix rouge sur le fond blanc) est cela du taureau de maître avec 2 chevaliers armés dans la selle. Ce sceau était utilisé pour des visiteurs de l'ordre en Europe, cependant, l'interprétation de 2 chevaliers est litigieuse jusqu'à aujourd'hui. Cela pourrait indiquer ainsi à l'un le voeu de pauvreté lors de l'entrée à l'ordre, la fraternité des chevaliers d'ordre ou justement de 2 idéaux de l'ordre, de la chevalerie et des moines.
Lors du démantèlement de l'ordre, ce sceau de Du côté de l'accusation était compris comme l'expression de l'alignement homosexuel de l'ordre et était ajouté aux preuves.
Structure interne de l'ordre:
Bien qu'au temps de fondation comme l'organisation étalé à quoi chaque homme libre pouvait entrer, une hiérarchie qui s'orientait à l'ordre de places médiéval se forme déjà bientôt.
- A vicaire si étaient les ecclésiastiques d'ordre qui distribue sur le jour cinq messes obligatoires pour tous les membres d'ordre munissaient et qui enlevaient la confession. Ce groupe très petit modéré en chiffres prenait au-dessous des deviendraient et des porteurs de problèmes de l'ordre (par exemple, de la région et Hauskomturen) les plus hautes positions dans la hiérarchie de l'ordre et avaient les certains privilèges. Un vicaire portait dès le rang d'un évêque un manteau blanc, les manteaux noirs ou bruns portaient au vicaire au-dessous de ce rang.
- Frères de chevalier provenaient toujours de la noblesse et devaient avoir reçus le coup de chevalier déjà avant l'entrée à l'ordre. Vous revenait (à côté des vicaires dans le rang d'un évêque ou plus en haut) comme les uniques le manteau blanc sur la robe de chambre noire ou brune, en outre, ils ordonnaient plus de trois chevaux (un cheval de conflit, Reitpferd et un cheval de paquet). Cependant quatre chevaux de la race choisie étaient à la disposition des dignitaires et des porteurs administratifs. Les frères de chevalier devaient apporter son équipement complet et très cher (avant tout, le fourbi de chaînes et les chevaux) avec dans l'ordre. Ils s'engageaient sur la durée de la vie et passaient après une période d'essai les voeux de la chasteté, de l'obéissance, du renoncement sur la possession personnelle et la protection des pèlerins en ses chemins.
- Sergents (sarjanz de mestier / servienten) ou les frères servant, se divisaient en frères s'armés qui luttaient comme la légère cavalerie, et des frères de travail qui munissaient les travaux occasionnels (des forgerons, selliers, agriculture). Ils portaient un sombre manteau (noir, si au niveau régional disponiblement, à part cela brun foncé) et disposaient d'un cheval.
- A rares si les frères de chevalier soutenaient dans la lutte. Ils portaient un sombre manteau (noir, si au niveau régional disponiblement, à part cela brun foncé)
Dans les possessions du Levant et de l'Espagne étaient nombreux plutôt rarement au vicaire et les frères luttant, dans Komtureien de l'Occident.
De plus on pouvait écouter ou faire partie de l'ordre en autres formes :
- milites ad terminum si étaient à l'ordre comme les frères luttant sur le temps les chevaliers adjoints
- Turkopolen servaient aux Templern comme mercenaire. Avec cela il s'agissait du chrétien du saint pays qui luttaient de la manière de Sarazenen (d. h. comme la légère cavalerie avec la flèche et courbe ou comme l'infanterie)
- fratres ad succurendum si les laïcs, qui adhéraient à l'ordre seulement sur le lit de mort, son salut d'âmes étaient à cause
- Donates donnaient en cadeau lui-même (et une partie de sa possession) à l'ordre. Le don entrait en vigueur le plus souvent seulement à l'âge si bien qu'elle soit à voir comme une espèce de prévoyance, aussi pour le salut d'âmes
- Confratres si étaient les protecteurs matériels de l'ordre qui profitaient, avant tout, de la réputation de l'ordre. Cela pouvaient aussi être femmes
L'ordre était mené par les grands maîtres qui étaient choisis par les frères :
- Großkomtur, lui la surveillance sur le trésor d'ordre, la défense et administration d'une agence d'ordre, le soi-disant prochain (aussi Komturei) avait
- Großmarschall, il avait la surveillance sur les armes et la nature de guerre
- Großspitter, son ressort les hôpitaux d'ordre étaient
- Firmariearzt, pour les soins dessinait de façon responsable
- Großtappir, était compétent pour les vêtements
- Drapier, Chef de l'administration
- Tressler pour la nature financière
Liste des grands maîtres :
Nr. | Nom: | Début de la durée du mandat: | Fin de la durée du mandat: | Commentaire: |
1 | Hugues de Payns | 1118/19 | 24. Mai 1136 | défunt(e) |
2 | Robert de Craon | Juin 1136 | 13. Janvier 1147 | défunt(e) |
3 | Everard des Barres | Janvier 1147 | Automne 1152 | démission |
4 | Bernard de Tronelai | 1152 | 16. Août 1153 | défunt(e) |
5 | André de Montbard | 14. Août 1153 | 17. Janvier 1156 | défunt(e) |
6 | Bertrand de Blanquefort | Octobre 1156 | 2. Janvier 1169 | défunt(e) |
7 | Philippe de Milly | 27. Janvier 1169 | Début 1171 | démission |
8 | Eudes de Saint-Amand | Avril 1171 | 19. Octobre 1179 | défunt(e) |
9 | Arnaud de Toroge | 1179 | 30. Septembre 1184 | défunt(e) |
10 | Gérard de Ridefort | Octobre 1184 | 1. Octobre 1189 | défunt(e) |
11 | Robert de Sablé | Fin 1189 | 13. Janvier 1193 | défunt(e) |
12 | Gilbert Hérail | Février 1193 | 20. Décembre 1200 | défunt(e) |
13 | Philippe du Plessiez | Début 1201 | 12. Novembre 1209 | défunt(e) |
14 | Guillaume de Chartres | 1210 | 26. Août 1218 | défunt(e) |
15 | Pedro de Montaigu | 1219 | 1232 | défunt(e) |
16 | Armand de Périgord | 1232 | 20. Octobre 1244 | captivité |
17 | Richard de Bures | 1244 | 1247 | défunt(e) |
18 | Guillaume de Sonnac | 1247 | Avril 1250 | défunt(e) |
19 | Renaud de Vichiers | Juillet 1250 | 1256 | défunt(e) |
20 | Thomas Bérard | 1256 | 25. Mars 1273 | défunt(e) |
21 | Guillaume de Beaujeu | 13. Mars 1273 | 18. Mai 1291 | défunt(e) |
22 | Thibaud Gaudin | Août 1291 | 16. Avril 1292 | défunt(e) |
23 | Jacques de Molay | Mai 1292 | 18. Mars 1314 | Exécuté |
Règles d'ordre et code de bonne conduite :
Les premières 72 règles reposent sur une rédaction de Benedikt von Nursia du 6ème siècle. Ceux-ci étaient traduits tôt du latin en français, puisque depuis longtemps pas tous les chevaliers de temple de la langue latine étaient puissants.
Jusqu'à 1260, l'ensemble de règles sur au total 686 règles qui concernaient, donc, principalement le domaine militaire était élargi.
72 règles d'ordre sont listées ici en courte forme :
- Comme les frères doivent participer à la messe
- Combien de père le nôtre les frères doivent prier, s'ils ne peuvent pas participer à la messe
- Ce qui est à faire après la mort d'un frère d'ordre
- Des vicaires et ecclésiastiques ne reçoivent rien à part l'entretien et des vêtements
- Ce qui doit être fait après la mort l'un sur le temps au servant
- Des frères d'ordre ne doivent faire aucun voeu
- Quand on doit se trouver à la messe ou s'asseoir
- Du mouds commun
- Au sen de midi et dîner, une sainte lecture doit être exposée
- Trois fois par semaine il doit y avoir de la viande pour les sains
- Sur l'ordre aux repas
- Les jours restants, 2 ou 3 légumes ou autres tribunaux doivent suffir
- Quelles nourritures doivent être contribuées vendredi
- Après le repas, ils doivent toujours parler une action de grâces à Dieu
- Le dixième de chaque pain doit toujours être donné à l'infirmier de bienfaisance
- C'est mis dans le plaisir du maître laisser un verre de vin ou eau ausschenken aux frères devant l'ensemble
- Après l'ensemble, le silence doit être tenu. Seulement à la nécessité irréfutable, cela peut être rompu
- Les épuisant n'ont besoin pas pour Matutin lèvent, mais peuvent rester étendus avec la permission du maître
- Des chevaliers et les autres frères reçoivent le même repas
- Comme et de quelle manière les chevaliers et les autres doivent être habillés au cloître des appartenant.
- Les frères servant ne doivent porter aucun manteau blanc
- Le manteau blanc revient seulement aux chevaliers d'ordre
- Comme les vieux vêtements doivent être distribués aux rares, aux frères servant et aux bras
- Ils doivent avoir seulement des peaux de mouton
- Ce qui désire le meilleur, le plus simple doit recevoir
- Comme des vêtements et chaussures procurent doivent être et quel nombre on doit avoir
- L'administrateur de vêtements doit faire attention à l'égalité du vêtement
- De la superfluité des cheveux, des favoris et de la moustache
- Des chaussures de bec et noeuds de chaussure et la longueur des robes chez les servant non pour une durée limitée
- Du chiffre des chevaux et du rare
- Personne ne doit prenaient mesure de lui-même, son rare qui sert pour l'amour à frapper
- Comme les frères servant sur le temps sont pris
- Personne ne doit partir sur sa propre volonté, au contraire (seulement) sur l'ordre du maître
- Personne ne doit exiger pour lui-même en personne un cheval ou des armes
- Des rênes, des étriers et de spores
- Des couvertures sur des lances, piques et boucliers ne sont pas admises
- Comme les musettes des chevaux doivent être
- Du pouvoir du maître de donner unes choses à un autre
- On ne permet à aucun frère sans échanger l'ordre du maître ses choses
- L'un ne doit rien exiger de l'autre, à part les choses insignifiantes et seulement le frère du frère
- De la fermeture au monte affaisse-toi et la valise sans permission du maître
- Si un frère d'ordre peut écrire des lettres sans permission ou recevoir
- On ne permet pas de bavarder avec un autre sur ses fautes ou eux plus autre
- Personne ne doit attraper un autre oiseau avec l'oiseau
- Ils doivent se méfier de chaque occasion à la chasse
- Quant au lion, il n'y a aucune disposition
- Si le jugement (l'erg entend sur chaque chose demandée par vous. du tribunal)
- Semblablement doit être dépensé en trajets sur toutes les choses prises à vous
- On permet à tous les chevaliers de probémol d'avoir le pays et les gens
- Des chevaliers malades et des autres frères
- Comme ses infirmiers doivent être
- Personne ne doit exciter l'autre à la colère
- En quelle forme on doit procéder avec des mariés
- On ne permet pas d'avoir à l'avenir des soeurs
- Ce n'est pas bon de soigner avec le maniement excommunié
- Comme les frères, qui viennent à neuf pour l'entrée, sont à prendre
- Quand tous les frères sont à appeler au conseil
- Comme est prié
- Si c'est mauvais d'accepter le serment d'un servant
- Comme des garçons doivent être pris
- Comme les vieillards doivent être rendus honneur
- Si c'est utile de donner à tous de la même manière l'alimentation et des vêtements
- Des frères qui voyagent par les provinces différentes
- Des dixièmes à lever
- Des légères et lourdes fautes
- Par quelle dette un frère ne devient plus de manière acceptée (c. -à-d. de manière expulsée)
- D'Oster fermement jusqu'à la fête de tous les saints un frère doit avoir, s'il veut, seulement une chemise leinenes
- Combien de et quels Leintücher sont nécessaires dans les lits
- Du grognement à éviter
- Ils doivent diriger son attention non sur le visage des femmes
- Personne ne doit être parrain
- Des dispositions
Trois branches principales de l'ordre :
1. Protection des pèlerins
Puisque les pèlerins plus pauvres ne pouvaient se permettre aucune arrivée de lac, ils étaient indiqués sur le chemin vicinal. Par les attaques continuelles des brigands et Seldschuken, la véritable raison pour la fondation de l'ordre était la protection d'accompagnement des pèlerins arrivant.
2. Domaine militaire
Le deuxième domaine de l'ordre s'occupait de la protection militaire des régions conquises, la défense des ennemis ainsi qu'à certaines attaques. Donc, le premier engagement militaire réel de l'ordre en 1148 au siège de Damas finissait dans un désastre comme plus grands Templer tombaient. Après la rénovation des troupes, Templer participaient à toutes les autres actions militaires. Après que la dernière capitale chrétienne d'Outremer tombe le 18 mai 1291, Templer pouvaient se tenir dans sa citadelle encore autres 10 jours jusqu'au pouvoir de conflit de Mameluken du sultan ont miné et ont apporté ainsi au cas.
Les dernières deux bases au proche est Tortosa et Athlit étaient enlevées en août et l'île Ruad de cette époque-là le 28 septembre 1302 en raison de la situation désespérée et l'ordre se retirait en Chypre.
3. Domaine économique
A côté de la protection d'accompagnement des pèlerins et des opérations militaires au proche est, le troisième domaine important de l'ordre des Templiers des activités financières était consacré. Ainsi devait être transporté au début tout simplement les prises de Komtureien (fortune d'églises ou de cloître) de l'Europe aux petits Etats et Länderein au proche est. Ainsi efüllten Templerstandorte à côté de l'utilisation militaire aussi la fin comme des coffres-forts et chambres de trésor. Vers la fin du 12ème siècle les emprunts d'argent devenaient une branche officielle de Templertätigkeiten auxquels l'ordre gagnait une réputation extrêmement bonne. En outre une propre manière de la lettre de crédit, au précurseur du chèque de voyage actuel ainsi qu'une technique progressive de la comptabilité devenait si aussi développé.
A la fin de l'ordre administraient à 15. 000 membres sur presque 9. 000 Besitztümer accumulés de l'ordre dont la tâche était introduire les ressources financières pour la réception et l'aménagement de l'ordre ainsi que ses campagnes. Bien, les deux quartiers généraux Temple à Paris et Temple Church à Londres comptent parmi les plus connus. Mais aussi des restes dans l'Allemagne actuelle sont à trouver comme par exemple à Berlin la cour de temple où l'ancien ordre la colonie Tempelhoffe se trouvait.
De l'ancien ordre innombrable des actifs immobiliers sont de reste aujourd'hui seulement les installations de cloître de défense Convento Cristo de dans Tomar portugais ainsi que le château de Ponferrada en Espagne.
Le démantèlement de l'ordre :
Le roi français de cette époque-là Philipp IV (Philipp le beau) jouait un rôle dans le démantèlement de l'ordre en 1307. A l'un Argwohnen des rois s'accroissait au temps en face de l'ordre, puisque celui-ci avait le plus grand et dans la lutte l'armée la plus experte, d'autre part à Philipp wurdem après le cas de petits Etats chrétiens au proche est réussissent une nouvelle croisade le saint pays à mener. Les ressources financières pour cela devaient être mises à la disposition dans la saisie des biens d'ordre et effacer en même temps les hautes dettes de Philipp. Philipp était fait par l'idée plus que, celui-ci ne pensait pas à une nouvelle croisade, donc.
Ainsi il en venait qu'en 1307 l'ordre était accusé de l'hérésie et zoophilie (les actions homosexuelles). La main libre formait le fait que le pape de cette époque-là Clemens V dépendait trop beaucoup du roi français et ainsi aucune intervention n'était à craindre Du côté de l'église.
Le 14 septembre 1307, la date de Templer la fête d'augmentation de croix importante, le mandat d'arrêt était établi sans exception pour tous les Templer en vigueur.
L'expiration devait l'arrestation, détention et le jugement de l'église le fait d'être en amenant. Tous vos Besitztümer et les biens devaient être mis confisque et sous l'administration fidèle au roi.
Cet ordre royal était cacheté à tous les lieux de service en France envoie avec l'instruction catégorique d'ouvrir le document seulement le 13 octobre 1307 et d'exporter immédiatement l'ordre se trouvant en cela.
Ainsi devait être empêché que Templer puissent s'avertir mutuellement et plonger. Il était la pour la première fois entreprise de commandement nationale, effectuée dans l'histoire de la police.
Seulement à Paris étaient arrêtés ainsi 138 Templer, jusqu'à 1309, le chiffre montait encore à 546.
Le 8 août 1309 les examens du pape commençaient et duraient jusqu'au 5 juin 1311. Donc 54 Templer étaient parlés coupable aux chefs d'accusation et étaient brûlés le 12 mai 1310 près de Paris.
Le 16 octobre 1311 le pape Clemens V ouvrait le concile de Vienne après la conclusion de qui le 22 mars 1311 l'ordre était dissous et était attribué Größtteil de la possession aux chevaliers de Saint-Jean.
La dernière brûlure avait lieu le 18 mars 1314 à Paris où le dernier grand maître Jacques de Molay et le chevalier d'ordre Geoffroy de Charnay étaient brûlés. Dans la partie restante de la France, presque aucun arrêt de mort n'était exporté contre Templer. Dans les autres pays comme l'Espagne, Templer restaient complètement importunés.
Les derniers chevaliers de temple :
Du mandat d'arrêt épargne, par la résolution de l'ordre, donc, concerné, Templer restés fondaient en 1319 l'ordre de Christ au Portugal, protégé par le roi portugais comme successeur de l'ordre des Templiers.
Anciens Besitztümer et biens de l'ordre des Templiers allaient, pas comme à vrai dire du pape Clemens exigé, aux chevaliers de Saint-Jean, mais n'étaient mis à la disposition du nouvel ordre. En outre, le roi portugais remettait pour une durée indéterminée son château situé en Algarve de Castro Marum comme le siège à l'ordre de Christ.
La révolution libérale de 1834 au Portugal, provoqué par Maria I, dissolvait comme tous les autres ordres aussi l'ordre de Christ.
Vous trouverez ici la documentation appropriée:
Histoire de l'Ordre du Temple: Les Chevaliers Blancs Templiers de 1099 à 1291
« Un nouveau genre de milice est né, dit-on, sur la terre, dans le pays même que le Soleil levant est venu visiter du haut des cieux, en sorte que là même où il a dispersé, de son bras puissant, les princes des ténèbres, l’épée de cette brave milice en exterminera bientôt les satellites, je veux dire les enfants de l'infidélité. Elle rachètera de nouveau le peuple de Dieu et fera repousser à nos yeux la corne du salut, dans la maison de David son fils. Oui, c'est une milice d'un nouveau genre, inconnue aux siècles passés, destinée à combattre sans relâche un double combat contre la chair et le sang, et contre les esprits de malice répandus dans les airs. Il n'est pas assez rare de voir des hommes combattre un ennemi corporel avec les seules forces du corps pour que je m'en étonne ; d'un autre côté, faire la guerre au vice et au démon avec les seules forces de l'âme, ce n'est pas non plus quelque chose d'aussi extraordinaire que louable, le monde est plein de moines qui livrent ces combats ; mais ce qui, pour moi, est aussi admirable qu'évidemment rare, c'est de voir les deux choses réunies, un même homme pendre avec courage sa double épée à son côté et ceindre noblement ses flancs de son double baudrier à la fois. Le soldat qui revêt en même temps son âme de la cuirasse de la foi et son corps d'une cuirasse de fer, ne peut point ne pas être intrépide et en sécurité parfaite ; car, sous sa double armure, il ne craint ni homme ni diable. Loin de redouter la mort il la désire. Que peut-il craindre, en effet, soit qu'il vive, soit qu'il meure, puisque Jésus-Christ seul est sa vie et que, pour lui, la mort est un gain ? Sa vie, il la vit avec confiance et de bon cœur pour le Christ, mais ce qu'il préférerait, c'est d'être dégagé des liens du corps et d'être avec le Christ ; voilà ce qui lui semble meilleur. Marchez donc au combat, en pleine sécurité, et chargez les ennemis de la croix de Jésus-Christ avec courage et intrépidité, puisque vous savez bien que ni la mort, ni la vie ne pourront vous séparer de l’amour de Dieu qui est fondé sur les complaisances qu'il prend en Jésus-Christ, et rappelez-vous ces paroles de l'Apôtre, au milieu des périls : Soit que nous vivions ou que nous mourrions, nous appartenons au Seigneur (Rom. XIV 8). ... »
Histoire de l'Ordre du Temple: Manuel Religieux et Règle Primitive
« Ecoutez attentivement, mon fils, les préceptes de votre Maître. Prêtez l’oreille de votre cœur. Recevez avec joie, et accomplissez d’une manière effective l’instruction d’un père charitable, afin que vous puissiez, par les travaux de l’obéissance, retourner à celui duquel vous étiez séparé par la mollesse et la lâcheté de la désobéissance. C’est donc à vous, présentement, que ma parole s’adresse. Vous, dis-je, qui que vous soyez, qui vous dépouillant de votre volonté propre, revêtez des armes de l’obéissance, si nobles et si redoutables, pour vous engager dans le combat, sous les étendards de Jésus-Christ, le Seigneur et le véritable Roi. Le premier avis que je vous donne, est de lui demander par de très instantes prières, qu’il lui plaise de consommer tout le bien que vous pourrez entreprendre, afin qu’après nous avoir fait la grâce de vous mettre au nombre de ses enfants, il n’ait pas sujet de s’affliger de votre mauvaise conduite. Car, vous devez lui obéir de telle sorte, et faire en tout temps un usage si fidèle de ce don d’obéissance que vous avez reçu de sa bonté, que non seulement il n’ait pas lieu, en qualité de Père, de s’offenser du dérèglement de vos mœurs, et de vous déshériter comme des enfants ingrats. Mais, encore de vous punir comme un maître redoutable et irrité par vos excès, et de vous condamner comme de méchants serviteurs à des peines éternelles, parce que vous n’avez pas voulu le suivre, et acquérir par votre obéissance la gloire qu’il vous avait préparée. »
Les templiers : Les archives secrètes du Vatican
Qui étaient les Templiers ? Quand l'ordre du Temple est-il né ? Pourquoi a-t-on porté de terribles accusations contre ses chevaliers ? Qui avait intérêt à les voir disparaître ? Dans cette enquête documentée, Jacques Rolland nous raconte, à l'aide d'archives inédites du Vatican, l'histoire captivante de l'Ordre du Temple. Faisant la part des mensonges montés de toutes pièces et des faits avérés, l'auteur éclaire d'un jour nouveau le rôle véritable des Templiers, leurs valeurs, leurs secrets, leurs traditions et leur influence sur l'histoire de France.
Le lourd secret des templiers - Leur vrai visage
L'ordre du Temple, créé en 1129, disparut moins de deux siècles plus tard, dissous lors du concile de Vienne. Il se conclut par l'exécution de son Grand Maître Jacques de Molay en 1314. Comment expliquer l'engouement, sept siècles plus tard, pour cette page de l'histoire ? Cet ordre n'a cessé d'être auréolé de mystères, faisant naître maintes légendes : quête du Saint-Graal, trésors fabuleux, découverte de l'Amérique, survivance après sa dissolution de nombreuses interrogations subsistent. Jacques Rolland, spécialiste renommé des Templiers, met à jour dans cet ouvrage un autre secret jamais évoqué, car certainement l'un des mieux gardés. À travers six tentatives de coup d'État en Orient comme en Occident, l'ordre du Temple poursuivait en réalité un but ultime : la création d'États templiers où le roi règnerait, mais ne gouvernerait pas. En Occident, les royaumes du Portugal, d'Aragon et de France ; en Orient, le comté d'Édesse, Ascalon et la cité-forteresse de Kérak. Ces tentatives de coup d'État ne relevaient pas des missions officielles de l'ordre. Les Templiers protégèrent, jusqu'à leur dernier souffle, trois importants secrets : l'un d'ordre dynastique, un deuxième d'ordre matériel et, enfin, un secret d'essence spirituelle. Mais est-il bien sûr que ces six coups d'État aient échoué ?
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