Au début du nouvel empire près de 1550 avant Jésus-Christ, il y avait dans la nature militaire de l'Egypte une nouvelle restructuration de la nature militaire. Après que les anciens occupants, Hyksos soient chassés, les Egyptiens prenaient en charge la technique de voiture de conflit des ennemis, donc, ceux-ci modifiaient sur ses rapports.
Les voitures de conflit égyptiennes se composaient du bois et cuir et étaient étalées par la construction légère sur la vitesse et manoeuvrabilité. Il était tiré par 2 chevaux et pouvait recourir par le sien loin derrière l'axe se trouvant avec les roues d'entrepôt se trouvant loin séparé à un petit rayon de tournant.
Les voitures de conflit, habituellement étaient équipées de deux hommes. L'un servait au véhicule comme conducteur, le deuxième effectuait les attaques ou la défense pendant qu'il avec la flèche et courbe ou lances les ennemis attakierte ou elle-même et le conducteur avec une enseigne contre des attaques défendait. Cela s'ajoutait aussi que ces voitures de conflit étaient accompagnées pendant les campagnes par les coureurs blindés et pouvaient se consacrer si pleinement et entièrement à l'attaque.
Donc, était voyant au temps que les combattants de voiture étaient le plus souvent nobles aisés, car non seulement l'acquisition d'une voiture de conflit était avec les hauts frais de manière liée aussi l'entretien et Reperatur dévoraient pour les rapports de cette époque-là beaucoup d'argent.
Une autre application de la voiture de conflit était à rendre service ceux-ci que le symbole d'état ou absolument comme le carrosse d'Etat comme à l'exemple de la voiture de Tutanchamun est à retirer.
Vous trouverez ici la documentation appropriée:
L'Égypte des pharaons - de Narmer, 3150 av. J.-C. à Dioclétien, 284 ap. J.-C.
Depuis une trentaine d'années, les découvertes archéologiques mais aussi le réexamen des données anciennes ont profondément renouvelé notre connaissance de l Égypte ancienne. Ces avancées permettent aujourd'hui de proposer un récit neuf, dégagé de la routine de l'histoire cyclique où, entre les « empires » forcément fastueux, viennent s'intercaler de sombres « périodes intermédiaires » marquées du sceau de la décadence. Les seize chapitres qui composent ce volume évoquent autant de moments de cette longue histoire qui commence à la fin du IVe millénaire av. J.-C. et s'achève avec la conversion des empereurs romains au christianisme. Malgré les transformations écologiques, géostratégiques, sociales et économiques que connut l'Égypte durant ces trois millénaires, ses rois, même ceux qui venaient de Perse, de Macédoine ou de la lointaine Rome, se glissèrent dans un costume politique taillé à la fin du IVe millénaire av. J.-C.
Le pouvoir pharaonique en fut-il, pour autant, immuable ? Il faut, pour répondre, ne pas se laisser aveugler par les textes et les monuments suscités par les pharaons eux-mêmes : pyramides écrasantes, temples gigantesques, somptueux masques d'or donnent en effet une image pour le moins erronée d'omnipotence. Illusion qui vole en éclats si l'on abandonne le mythe de l'exception égyptienne et que l'on envisage l'histoire politique des monarchies comme participant à celle, plus générale, des mondes anciens.
Près de trois cents documents iconographiques, une trentaine de cartes illustrent cette histoire de l'Égypte des Pharaons.
LE PROCHE-ORIENT ET L'ÉGYPTE ANTIQUES
C’est au Proche-Orient, 12 000 ans avant J.-C., entre l’Euphrate et le Tigre d’une part, et le Nil de l’autre, que débute la sédentarisation. Avec la naissance des villages, c’est la mainmise sur l’environnement découverte de l’agriculture et de l’élevage. Au IVe millénaire la ville apparaît, marquant une étape nouvelle dans l’évolution sociale avec une différentiation des classes et la découverte de l’écriture. C’est l’aube de l’Histoire.
L’apparition en Égypte d’un État fortement centralisé, marqué par le développement d’une architecture monumentale au service d’un roi-dieu la singularise. Ailleurs, la formation des cités-États, la constitution de royaumes et la création d’empires de plus en plus grands, rythment la vie de cet univers oriental.
Voyage en Egypte ancienne
Un beau livre composé de 75 reconstitutions de sites et de monuments tel que pouvait les voir un voyageur du temps des pharaons, expliqués par une évocation de la vie dans l'Egypte ancienne à travers les récits mythologiques, l'histoire et l'archéologie.
Le Livre des Égyptes
" L'Égypte est la mère du monde ", affirment non sans fierté les Égyptiens, conscients d'être nés dans l'un des plus vieux pays de l'humanité. Mais cette maternité-là a largement dépassé les frontières de la vallée du Nil. Depuis des millénaires, l'Égypte irrigue notre mémoire collective et nourrit l'imaginaire occidental. L'originalité de cet ouvrage conçu sous la direction de Florence Quentin par les meilleurs spécialistes français et étrangers est de nous montrer toute l'ampleur de cet héritage qui n'a cessé d'influencer les civilisations ultérieures jusqu'à nos jours.
Sphinx, pyramides, trésors, tombes fastueuses, momies, écriture, figures de Toutankhamon, de Ramsès ou de Cléopâtre agissent comme autant d'évocations envoûtantes. Le mystère qui recouvre cet univers est encore à décrypter. Il a hanté les alchimistes de la Renaissance, les francs-maçons, les philosophes et poètes allemands, fasciné Voltaire, Mozart, Bonaparte, Freud, Hergé et nombre de cinéastes. Il a aussi inspiré d'autres cultures, d'autres religions qui se sont épanouies à son contact. Phéniciens, Hébreux, Grecs, Romains, l'Occident judéo-chrétien comme l'Orient musulman ont puisé une partie de leur génie dans ce vivier culturel et spirituel devenu indissociable de notre patrimoine universel.
Au-delà de l'actualité, l'Égypte continue d'exercer sur nous une attraction puissante et vivifiante, tant il est vrai que chacun porte en lui " son " Égypte, secrète et parfois irrationnelle, et cherche du côté de cette terre originelle une réponse à ses rêves d'éternité.
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